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expresto

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Derniers commentaires
3 septembre 2008

Je t'aime, moi non plus

Je t’aime, moi non plus

 

Je te regarde, tu me regardes. Seule cette personne peut vous comprendre, elle est du sexe opposé et pourtant rien ne peut remplacer cette complicité. Ce n’est pas ou plus de l’amitié, c’est un sentiment de protection, d’avoir trouver une personne qui est la seule à vous comprendre, à se retrouver en vous, elle sait lire à travers vous et comprends que dans vos colères quelque chose se cache derrière. Plusieurs fois, on essaie de s’éloigner, car c’est trop compliqué, trop fusionnel, mais tout nous ramène à l’autre, la distance n’y fait rien, les bonnes résolutions non plus, le quotidien encore moins. Quelle sera la suite ? Cette aventure est-elle éternelle ? Est-il possible que l’on aime sans vouloir vivre aux côtés de l’autre ? Pouvons nous imaginer que cet amour soit aussi fort que se voue deux êtres sans pour autant être similaire ? C’est indescriptible. On se ment, on essaie de mettre des mots tant bien que mal sur ses sentiments car en théorie le duel amour-amitié est unique, mais en pratique ? Pourquoi vouloir être terre à terre alors que l’on peut laisser parler l’inconscient, le laisser nous guider. Comment s’y retrouver quand on vous demande d’oublier et que les souvenirs partis à des kilomètres s’obstinent eux à ne pas vous laisser partir, à ne pas mettre leurs actes en conformité avec leur parole. La barrière entre l’amour et l’amitié serait-elle donc infime ? Mais que fait-on lorsqu’on est sur cette limite ? Comment jauger? Comment juger ? Comment savoir ? Croire que l’on est capable de trouver les mots justes, les actes adéquats est s’obstiner à être dans l’erreur car au fond avec le sexe opposé l’amitié et l’amour peuvent être très proche et toute la limite se trouve au bord du lit. Peut-être que le seul moyen est d’instaurer l’absence, que ce besoin se face ressentir, pour qu’enfin nous ayons passer le cap de cette incertitude, parfois, insoutenable, et quelquefois néfaste.

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2 septembre 2008

Symptômes post-opératoires

Symptômes  post-opératoires

 

Après une rupture, il se passe toujours un temps ou l’on papillonne inconditionnellement. On y prend plaisir, on butine, on se perd dans cette frénésie un peu fantaisiste. Lorsque les choses se bousculent, le syndrome de la questionnîte aigue vient rythmée notre vie « pépèrement tranquille ». Suis-je prêt ? Ai-je oublié ? Y’aurait-il donc des conséquences post-opératoire ? En soit, sommes nous tous pareils ? La femme la plus volage considérée comme une p*** par les hommes, comme libérée par les femmes ; ou l’homme le plus collectionneur considéré comme un c*** par les femmes, comme un dieu par les hommes, ont-ils tous des séquelles ?

 Cette attitude qu’on prend tous plaisir à avoir au moins une fois dans sa vie, nous fait du bien, nous enivre, nous pèse, nous bonifie, nous aigrie, nous rassure. Alors, ils ont raison à 20, à 30 ou 40 printemps, on peut le vivre sans être sujet aux brimades et douter de sa capacité à aimer. C’est un besoin comme un autre de vivre, de s’enivrer, de respirer la jeunesse et l’insouciance. Y a-t-il des limites ? Celles de s’endurcir, de se protéger aux risques de ne plus savoir comment aimer, comment se laisser porter, tout simplement avoir oublier combien l’amour peut délicieusement nous empoisonner.  Ce n’est un secret pour personne, que l’on veuille ou non faire du mal, la seule bonne raison de cesser de butiner est de trouver une personne qui saura nous attraper en vol, nous apprivoiser, nous captiver, nous capturer. Le seul souhait ? Pas trop vite pour que l’on puisse s’épanouir, pas trop tard avant que l’on se fane, juste à temps ! Me direz-vous…. Tout vient à point à qui sait attendre !

29 août 2008

Les joies du métro!

Philosophie oblige, la positive attitude se doit d’être au rendez vous et cela même si dès le matin vous prenez le wagon n°4 de la ligne9 et que vous entrez dans la fausse nauséabonde du matin. Dans ce cas la, vaut mieux se retrouver seul et se concentrer sur le gel douche amande douce que l’on peut encore sentir sur soi. Pardon !!! voilà ce qu’on vous dit lorsque qu’on vous écrase la joue contre la vitre, que l’on étouffe sous l’aisselle du voisin, qui visiblement préfère la douche du soir à  celle du matin ! C’est ce qui se passe lorsque quelques un n’ont pas compris qu’il y’avait des barres-microbes auxquelles on doit s’accrocher. Ah oui par ce que le métro ça bouge mais tout le monde ne le sait pas encore. Alors il y a certains « je me la pète » ou certains « anti-bactériens » qui décident de se tenir debout et devinez quoi sans les mains, en équilibre. J’oubliais ! le best des adeptes du métropolitain sont les parasites qui ne savent pas lire quelques mots en gras, ni des symboles basiques, comme par exemple tenir sa droite lorsqu’on est pas pressé, pour laisser passer les gens qui bossent, et qui sont motiver pour se retrouver pendant 8h face à leur ordinateur à la pointe de la technologie. Parfois se sont les amoureux qui s’embrassent goulûment comme si cette journée serait la dernière. Style, c’est independance day, on ne se reverra plus jamais, on a dormis ensemble, on se retrouve pour déjeuner mais on n’est pas rassasié ! C’est plus de l’appétit, c’est de la famine !

Autre cas de figure, Il faut savoir qu’ici, là, nous avons le métro le plus étroit qu’il puisse exister, donc c’est avec facilité que les voyageurs remplissent les wagons jusqu'à temps que l’oxygène se fasse de plus en plus rare. Comment peut il se remplir si vite ? Lorsqu’un ingrat est assis sur les strapontins et, est décidé à rester le derrière vissé sur son siège rabattable. Et cela peut importe si le wagon est bondé, la personne âgée debout, sur ses pieds, ou la femme enceinte épuisée.

29 août 2008

le chat et la souris

Lorsque la rupture survient, il ets toujours difficile de dire "adieu" aux habitudes et au quotidien. Alors, pour certain faute d'avoir couper les ponts, l'amitié plus que poussée devient d'actualité. Mais dans cette histoire, il faut savoir que si un nouveau départ n'est pas enclenché, c'est que l'un des deux est déjà parti bien loin.
On aimerait parfois, lorsque nous sommes incapable de mettre nos propres barrières, que la personne qui profite de la situation, sans trop de souffrance, puis avoir l'amabilité de poser les limites adéquates. Y'a t-il donc un jeu de rôles? Un fort et un faible dans une rupture?
Comme disait le crooner, Julio Iglesias, le cliché bersion 70's : "En amour, il y'a toujours un perdant, j'ai eu la chance de gagner souvent et j'ignorais que l'on pouvait souffrir autant". Alors, c'est ça? Un éternel combat?! Un éternel afront qui nous est infligé parce que notre orgueil, nos sentiments sont mis à mal et nos divergences prononcées. Inutile de faire un plaidoyer, on doit s'en accomoder.
La pire des situations, c'est lorsque le plus fort prendra le dessus, qu'il se contentera de ses moments d'intimité laissant croire au plus faible qu'il peut continuer à s'accrocher à ce dernier espoir. Tant que l'amour n'aura pas ressurgit dans leurs vie respectives, le jeu du chat et de la souris sera toujours de mise.
Quelles sont les règles du jeu? Qui doit prendre la décision? Le chat? La souris? Ne sommes nous pas au moins une fois, tous tombé dans le gouffre? Et a t-on réussi à changer de statu, de rôles; ou encore mieux égaliser celui de l'adversaire?! Echec et mat!

9 janvier 2008

le parigot

LE PARIGOT

Paris la plus belle ville du monde ! La plus romantique ! Mais où est passée cette image d’un Paris illuminé ? Du Parisien casquette sur la tête et baguette à la main ? Cette image des cafés bondés illustrant la sympathie d’un Parisien non stressé ?! Et bien oui, ceci est désormais révolu !

Le Parisien se comporte vis à vis des étrangers comme nos rois l’étaient vis à vis de leurs sujets. Cette prétention serait-elle un héritage historique ?!

Le Parisien critique. Il fait des reproches à son pays mais également à ceux d’Outre Atlantique. Les gens disent que Paris à une immense richesse culturelle. Mais soyons lucides, Le Parigot - comme l’appellent les provinciaux – ne connaît pas plus de monuments historiques que l’asiatique qui débarque sac Vuitton et carte du métropolitain à la main.

Le Parisien sympathique des années 20 s’est vite fait remplacer par le Stressé collet monté qui cours sur les trottoirs parisiens. C’est celui-ci qui, quand un touriste paumé lui demande son chemin, indique une direction, avec n’importe lequel de ses bras qui fera l’effort de s’élever. Bien évidemment, tous les Parisiens ne sont pas comme ça, l’autre partie ne dédaigne même pas répondre. C’est la loi de la jungle ! Pas de courtoisie et un peu d’hypocrisie. Ici, on trace son chemin parce qu’on aime bosser et qu’on est pressé de se rendre au boulot chaque matin. Paradoxal pour un gréviste invétéré, non ?!

L’image du Parigot est sans pitié, égale à lui-même. On le sait tous, le Français n’aime pas le changement. Alors pourquoi le Parisien changerait-il ? Prétentieux comme il semble l’être, il lui est légitime de penser : que l’on parle de lui en bien ou en mal, le principal c’est que l’on parle de lui !

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25 octobre 2007

Règle N° 2 : l'art de la justif'

Dans n'importe quelles situations, la règle d'or est de ne jamais se justifier....
Toute la maîtrise  de la conversation et des évènements est de garder le plus longtemps possible toute explications pouvant être prise comme justification. Bien évidemment, cette règle dite d'or devient vite une règle dite éventuelle. Qu'on le souhaite ou non la justif' est le seul moyen de se faire comprendre. Il faudrait être insensible aux pensées de notre entourage et peu regardant sur les conséquences de nos actes censés rester injustufiés.
Dans les relations à deux, il semble plus fréquent qu'un ou l'aute excelle dans l'art du " j'ai pas de compte à te rendre". Façon de montrer que l'on est indépendant et surtout persuader que l'on est bloanc comme neige.
Faire en sorte de ne pas ou peu se justifier serait-il un moyen de se protéger, d'assurer ses arrières comme à la guerre?
La solution?! Peut être bien de dire la vérité mais pas en entière, juste une partie, histoire de se dire "je n'ai pas menti".

Le jeu du "je ne me justifie pas" est encore un jeu pour adultes. Une jungle ou tous les moyens sont bons pour ne pas s'y perdre...

24 octobre 2007

Bonnes résolutions ou jeu pour adultes plein de bonne volonté

Qui n'a jamais penser prendre de nouvelles résolutions pour la nouvelle année?!

  • "J'arrête de fumer",
  • "j'arrête de boire",
  • "plus de relations sans lendemain",
  • "j'arrête de croire que LA bonne personne existe",
  • "je change de boulot",
  • "j'arrête de cracher sur mon patron",......

Waouh ça fait beaucoup de changement  pour une seule personne, beaucoup d'habitudes à modifier et à formater. Septembre, Janvier, deux mois sur 12 où l'on se dit c'est reparti ; sans compter les saints quekchose ou les anniversaires qui sont aussi les jours "bons plans" pour se dire je vais devenir encore mieux.
L'idée de bonne résolution serait-elle une tradition culturelle ou une tangente pour se donner un objectif que l'on avait pas eu l'occasion "d'entamer" ?
Cette idée plus qu'une décision est un jeu sans conditions. En réalité, on se fou de savoir si les buts seront atteints, quels chemins seront pris pour y parvenir. Le plus marrant c'est de se dire voila mes bonnes résolutions et de parsemer nos conversations avec celles-ci autour d'un verre entre copines averties.
Y'aurait -il un code à respecter? une sorte de règle du jeu à prendre en compte avant de lancer les dés?
C'est vrai, s'il on prend un échantillon de population, les décisions du nouveau point départ ne seront pas ou peu diversifiés. Bon moyen de savoir le nombre de fumeurs en France désireux d'arrêter toute perforations de poumons. A savoir également que le nombre d'accros aux chocolats, le nombre de femmes croyant encore à leurs rêves de petite fille ou le nombre de patrons détestés par leurs employés exploseraient les standards.

Septembre est passé, janvier se prépare, les anniversaires sont tout au long de l'année, les saints kekechose à la météo en fin de journée,......Alors amusez vous bien !

11 octobre 2007

LE MARCHE DES CELIBATAIRES DESESPERE LES CŒURS SOLITAIRES

LE MARCHE DES CELIBATAIRES DESESPERE LES CŒURS SOLITAIRES


   De nos jours, la nouvelle cible des annonceurs est le célibataire. Mot qui fait souvent peur car depuis l’âge de pierre, l’homme semble destiné à finir sa vie accompagné. On se sent obligé de finir sa vie à deux. Toutes les excuses sont bonnes pour justifier son célibat.
   Alors des hommes d’affaires rusés ont développé un marché qui prend pour cibles le célibataire désespéré. Speed-dating, site Internet, chat sms, agences matrimoniales et foires aux célibataires ne font que de mettre en évidence que le temps presse et qu’être à deux, c’est primordial. Seulement, tout cela n’est qu’un jeu, histoire de se persuader que notre séduction est toujours d’actualité. Avec un peu de chance, vous gagnez le gros lot, mariage, enfants, labrador et maison de vacances. Mais, c’est comme le Loto, combien y jouent et ont les bons numéros ?! Carrière-famille ? Famille-carrière ? C’est un choix à faire !
   On avance avec notre temps même si cette nouvelle forme d’amour est parfois déroutante voire déprimante. Le pire, c’est qu’après avoir intégré cette philosophie, chercher devient notre hobby.
Conclusion, le célibataire qui cherche dans le virtuel se résume à vivre dans l’irréel. C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, à force on désespère.

11 octobre 2007

CAP OU PAS CAP ?!

CAP OU PAS CAP ?!



Astronaute, vétérinaire, actrice, coiffeuse, qu’ils sont beaux ces métiers, ils nous font rêver quand l’âge de raison, n’a pas encore sonné à notre porte, quand la marelle est encore notre activité quotidienne. 1, 2, 3 combien en aurons-nous ? je veux une belle famille et un mariage qui dure, je suis une princesse qui croit dur comme fer à son prince charmant épée à la taille et cheval blanc comme attirail. Un matin, je me lèverai, quelqu’un viendra sonner à ma porte et ce sera lui, un bouquet à la main, à genoux me disant mille mots d’amour.
Trêve de rêverie, l’âge de raison est bel et bien fini et aujourd’hui, devant le fait accompli, aucun des métiers que j’ai choisi n’est cette Maria Callas ou cette Romy Schneider, pas d’homme agenouillé à ma porte, et pas de marmots chahutant dans le salon. Quand bien même cela se serait-il produit, j’aurais été  une de ces exceptions à avoir défié le mode de vie de notre génération.
Un, deux, trois, soleil ! ma vie actuelle n’est pas la même. Stop, rétrospective, assise je repasse en revue mon parcours, pourquoi je ne suis pas blanche neige, cendrillon ou la belle au bois dormant, peut-être ai-je manqué d’armement. Changement, voilà, c’est ça, un peu de poudre magique qui à fait grandir la graine et qui l’a faite changer de direction au fils des ans.
J’aimerais être cette petite fille que j’aperçois au coin de la rue. Elle a des couettes et un lapin en guise de machin chouette. Insouciante, elle ne pense pas aux responsabilités qu’elle devra endosser dans une vingtaine d’années. Elle peut dire au monde entier : « je fais que c’que je veux, que quand je veux », personne ne lui dira rien, c’est normal elle a des couettes. Passé 25 ans, on a plus des couettes, alors pas le choix, on se tait et acquiesce comme un mouton, parce que, dans le boulot, il faut suivre le troupeau, sinon tu pars à l’ouest, tu te perds dans l’étendu de gazon, et tu peux compter sur le berger avec son bâton pour te remettre dans la bonne direction.
Il pleut, je vois une flaque, journée heureuse ou emmerdeuse, peu m’importent, la flaque m’attire, le claquement des pieds qui viennent frapper la flaque, puis le goudron avec pression, me fait sourire, je brûle d’impatience de sauter dans la flaque, de retrouver mes jeux d’enfants, de jouer à cap ou pas cap, d’envoyer des boules papiers voire même de caricaturer.


11 octobre 2007

BOULEVERSEMENT CLIMATIQUE POUR MARS ET VENUS

BOULEVERSEMENT CLIMATIQUE POUR MARS ET VENUS


   Ubersexuels, métrosexuels, ou juste sexuels, les hommes semblent avoir changé leurs habitudes et leur comportement. Ils se féminisent et laissent évacuer leurs chatras. Les magazines masculins ne font plus dans l’érotique ou dans le sexuel mais dans le cuistot débutant. Autrement dit, comment faire un bon plat et calculer les calories que contient une salade de crudités. Même si les hommes semblent désormais comprendre l’intérêt qu’ont toujours portées les femmes à la santé et à la beauté ; ils n’en restent pas moins des hommes, pauvres en morale et riche en testostérone. Dotés de corronès, ils perdent toutes notions rationnelles et plongent dans un état primitif  lorsque leur cerveau a fait une chute de quelques étages pour finir dans l’entre jambe.
   Pour les femmes, cette féminisation de l’homme n’est qu’un leurre. Elles croient à une sensibilité et une humanité enfin révélées chez le sexe opposé. En réalité, cette dernière n’est qu’une excuse de plus, pour justifier leurs acrobaties entre une blonde et une brune.
   Ce bouleversement  sur la planète Mars en a provoqué un chez Vénus  car depuis cette nouvelle ère, les femmes ont visiblement oublié qu’un homme resterait toujours un homme.   

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